🥰Plongez dans l’univers gourmand de la friterie Chez Christine, ouverte depuis septembre 2007. 🎉
🤩Faites connaissance avec ma mascotte, pleine de piquant, Betty Boop !
💥 Elle incarne mon engagement à vous offrir des frites qui sortent de l’ordinaire, tout comme elle-même !😉
🥰D’ailleurs chez moi, chaque frite est une délicieuse aventure croustillante, chaque assaisonnement une aventure de goût c’est pourquoi vous découvrirez le sel au paprika et le sel provençal, que je prépare moi-même, qui sont des explosions de différentes saveurs sur vos frites. 💥
😃Préparez-vous à partager des moments croustillants en compagnie de Betty Boop et de mes délicieuses créations ! 🥳
🤓Explorez mon menu où l’extraordinaire et le classique se rencontrent pour créer une expérience de saveurs inoubliables. 🤪
Ainsi vous trouverez par exemple l’américain Achiétois, unique en France, à base de confit d’endives à l’oignon rouge. 🤪
🤩Mon objectif est de vous offrir bien plus qu’une simple friterie. Chez moi, vous n’êtes pas simplement un client, mais un convive accueilli comme à la maison et chaque plat est cuisiné avec le même soin et l’amour que celui que je mets dans mes repas à la maison. 🥰 🌺
Au plaisir de bientôt vous servir.
🌺 Christine 🌺
Comme à s’baraque: «Chez Christine», à Achiet-le-Grand, le plein de spécialités pas si ordinaires
Véritable institution pour les uns, élément de folklore pour les autres. Cet été, nos chères baraques à frites feront parler d’elles dans cette rubrique estivale « Comme à s’baraque ». L’entrée de cette friterie installée au cœur d’Achiet-le-Grand affiche la couleur : rouge. Rouge comme l’une des robes glamours de la sulfureuse Betty Boop, la mascotte de « Chez Christine ».
À première vue, le lien entre cette héroïne de dessins animés et la baraque à frites peut paraître obscur. C’est pourtant le personnage favori de Christine Berrier, propriétaire des lieux.
Vous ne verrez ça sur aucune autre baraque à frites, et c’est justement l’objectif de Christine : « En ouvrant ma friterie, je n’avais qu’une seule idée en tête : me différencier des autres. »
Faire autrement, sortir des sentiers battus, c’est le fil rouge de « Chez Christine ». Jusque dans l’assiette des clients. Parmi les spécialités proposées ici, on retrouve les classiques Savoyard et autres Montagnard mais à leurs côtés, d’autres sandwiches plus surprenants. Christine est fière de présenter l’Achiétois, un américain sur lit de confit d’endives à l’oignon rouge. Même les candidats de Top Chef n’y avaient pas pensé. L’ingrédient phare de l’Achiétois vient tout droit d’un producteur installé à Achiet-le-Petit. Autre spécialité sucrée-salée de la maison, le Betty Boop. Le pari de Christine dans la composition de cet américain : allier le maroilles avec le miel. Et selon les dires de la gérante, les clients semblent s’en régaler. « Quand je cuisine à la friterie, je m’applique autant que lorsque je suis chez moi. Une fois que les clients repartent, je veux qu’ils se souviennent de leur passage ici. »
L’américain achiétois
La friterie « Chez Christine » fête son premier anniversaire. Pour l’occasion, elle crée l’américain achiétois, le premier américain sucré salé ou comment combiner frites et endives.
Cela fait un an ce 10 septembre que Christine Berrier a ouvert sa friterie. Achiétoise depuis neuf ans, mariée et mère de trois enfants cette jeune femme travaille avec de petits contrats depuis quatre ans. Dynamique elle exerce dans tous les petits jobs du coin. Elle passe tous les jours devant une friterie et un jour elle a le déclic. Elle décide de créer son entreprise : une friterie !
Elle demande l’autorisation de s’installer puis, avec son époux Pascal, elle rénove une friterie ancienne. Devant la friterie, il y a des tables et des chaises et on voit partout des Betty Boop. Quand on lui demande pourquoi cette figure cinématographique trône fièrement sur la friterie. Elle répond : « J’aime bien ce personnage et puis cela attire le client. Il fallait donner une mascotte à cette friterie. Depuis beaucoup de clients m’offrent des objets sur Betty Boop. Le travail ne manque pas. Il y a des gens de passage, les usines alentours et les soirs il y a les gens du village qui se réunissent et qui discutent. On commence à me connaître et la clientèle est fidèle. Le planning est serré à la maison surtout que mon mari travaille la nuit alors on s’organise mais ça vaut la peine car j’ai un travail intéressant et les gens sont sympathiques. J’ai fermé au mois d’août et beaucoup m’on dit que ça leur manquait. » En ce qui concerne les pains c’est le boulanger du village qui livre et les pains bagnat sont fabriqués à Bapaume.
La rencontre avec l’endive
Un soir, Véronique Duforest, de la Ferme au Chiconnettes d’Achiet le Petit, avait envie d’une frite. Elle descend au village voisin. Elle fabrique des confitures d’endives et, en bonne commerçante, elle essaye de placer son produit. En y réfléchissant bien, Christine trouve l’occasion de faire un américain vraiment spécial. Elle a l’idée d’incorporer à un sandwich de la confiture d’endive aux oignons. Un sucré salé c’est bien la première fois que cela se fait. Mais elle essaye et ça marche. Le fameux américains achiétois était né et depuis elle en vend pas mal. Pour la recette complète rendez-vous à Achiet-le-Grand sur la place de l’église.
ARTICLE écrit par René Bellanger, paru le 17 septembre 2008 dans la voix du nord.